Je me souviens de tout ton corps
De ta nudité fondue dans le décor
De ton regard qui me toise
Ton air mutin ta mine grivoise
Je me souviens des caresses sur ta peau
Comme une main posée à la surface de l'eau
De la pointe tendue de tes seins
Aux creux infime de tes reins
Je me souviens des baisers qu'on échangent
Des mots qui parfois dérangent
Chantant notre plaisir définitif
Nos désir conjugués à l'infinitif
Je me souviens de tes "plus fort"
Des cuisses qui s'ouvrent encore et encore
Des organes qui s'eveillent et se dressent
Sous les baisers et douces caresses
Je me souviens des draps froissés
Des corps après l'amour défroissés
De nos sueurs maintes fois mélangées
Nos deux semences écoulées
Je me souviens des cris dans la nuit
Des envies que l'on croyait endormies
De leurs courses au bout de nos rèves
Jusqu'a ce que la fatigue nous achêve.
Je me souviens des murmures qui peinent
Quand les yeux doucement s'éteignent
Et qu au rythme du battement de nos coeurs
Nous nous endormons le sourire moqueur
De ta nudité fondue dans le décor
De ton regard qui me toise
Ton air mutin ta mine grivoise
Je me souviens des caresses sur ta peau
Comme une main posée à la surface de l'eau
De la pointe tendue de tes seins
Aux creux infime de tes reins
Je me souviens des baisers qu'on échangent
Des mots qui parfois dérangent
Chantant notre plaisir définitif
Nos désir conjugués à l'infinitif
Je me souviens de tes "plus fort"
Des cuisses qui s'ouvrent encore et encore
Des organes qui s'eveillent et se dressent
Sous les baisers et douces caresses
Je me souviens des draps froissés
Des corps après l'amour défroissés
De nos sueurs maintes fois mélangées
Nos deux semences écoulées
Je me souviens des cris dans la nuit
Des envies que l'on croyait endormies
De leurs courses au bout de nos rèves
Jusqu'a ce que la fatigue nous achêve.
Je me souviens des murmures qui peinent
Quand les yeux doucement s'éteignent
Et qu au rythme du battement de nos coeurs
Nous nous endormons le sourire moqueur